A partir de moyen age, on a constaté que les sièges ont connu un minime progrès avec l’usage de ressorts durant le milieu de 19 ème siècle et l’utilisation des mousses depuis les années 1940. Pour les garnitures, il faut noter qu’il y a deux catégories qu’on va développer comme suit:
Les garnitures mobiles:
Ce type de garniture ne s’attache pas au bois de siège et elles englobent:
- Coussin placé sur plate-forme avec / sans ressorts.
- Châssis mobile: Dans ce cas, les garnitures sont réalisées sur des châssis indépendants de telle sorte à ce qu’elles soient adhérentes au siège par un mécanisme de feuillure ou bien de les fixer avec des vis au bois du siège. Ce mode de traitement est adéquat pour les châssis de fond ainsi que pour mieux traiter le dossier voire concevoir des manchettes. L’avantage crucial de cette méthode est de maintenir le bois de siège parce qu’un garnissage fait d’une manière régulière abîme négativement le bois du fût.
- Coussin galette: Ce modèle de garniture, qui est très simple, est à adopter pour quelques genres de sièges à savoir le canné, le paillé ou celui réalisé en bois. Le procédé de cette forme se traduit de cette manière: Il faut une mince plaque de contre-plaqué ou d’un carton très fort afin de déposer la garniture. Ainsi, vous collez les tissus sous le support et sous le jaconas cousu donc la galette obtenue sera maintenue dans son emplacement adéquat par le biais des rubans.
- Carreau piqué: Ici, on cite qu’on traite un coussin épais conçu avec une garniture piquée et sans avoir besoin d’un support solide.
Les garnitures fixes:
Paradoxalement aux garnitures mobiles, les garnitures fixes sont associées au bois du siège qui prend deux formes à savoir la garniture « à pelote » et la garniture à épaisseur.
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